Work nº144 : Hot wheels, 2011.
Platane brulé / Burnt plane tree.
60 x 21 cm.
The creative process of this work overtakes with a disturbing irony the glamorous title of an American brand mass-producing miniature cars: "Hot Wheels”. They are indeed hot, here, these charred wooden wheels.
Taking these two words literally and transforming them into a creative act, Work nº144: Hot Wheels (2011) takes shape before our eyes and reveals the true nature of these gleaming mock tires. Between the innocence of a child's toy and a meaningful trompe-l’oeil, this work evokes the severity of the ecological disaster induced by the car industry.
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Le processus de création de cette œuvre joue ironiquement du titre glamour d'une marque américaine produisant en masse des voitures miniatures : Hot Wheels. Elles sont effectivement brûlantes, ici, ces roues en bois calciné.
Prenant ces deux mots au pied de la lettre et les transformant en acte créateur, “Work nº144 : Hot Wheels” (2011) prend forme sous nos yeux et révèle la vraie nature de ces simulacres de pneus rutilants. Entre innocence d'un jouet d'enfant et trompe-l’œil lourd de sens, l’œuvre évoque la gravité du désastre écologique que représente la production automobile.
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Taking these two words literally and transforming them into a creative act, Work nº144: Hot Wheels (2011) takes shape before our eyes and reveals the true nature of these gleaming mock tires. Between the innocence of a child's toy and a meaningful trompe-l’oeil, this work evokes the severity of the ecological disaster induced by the car industry.
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Le processus de création de cette œuvre joue ironiquement du titre glamour d'une marque américaine produisant en masse des voitures miniatures : Hot Wheels. Elles sont effectivement brûlantes, ici, ces roues en bois calciné.
Prenant ces deux mots au pied de la lettre et les transformant en acte créateur, “Work nº144 : Hot Wheels” (2011) prend forme sous nos yeux et révèle la vraie nature de ces simulacres de pneus rutilants. Entre innocence d'un jouet d'enfant et trompe-l’œil lourd de sens, l’œuvre évoque la gravité du désastre écologique que représente la production automobile.
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